Le jour où je mourrai
Souvent j’ai pensé que si le paradis existait et tout et que Dieu m’aimait vraiment, alors que quand je mourrais, si tant est que j’accède au paradis (c’est pas gagné…), Janis serait là pour m’accueillir et qu’elle me serrerait fort fort fort dans ses bras (elle aurait consulté mon dossier émotionnel depuis le 11 août 1981, et même avant!) et moi je la serrerais hyper fort aussi au risque d’être étouffée par sa tignasse et de mourir à nouveau. Si Tori meure avant moi, je veux la serrer dans ses bras aussi juste après ! On chantera le p’tit bonhomme en mousse ou “Amazing Grace” toutes les 3 et j’irais embrasser mes proches, partis avant moi, ceux-là je les aime trop pour rester juste 2 minutes dans leurs bras, on priera pour les vivants et on communiera sprituellement dans l’amour jusqu’à la fin des temps. Je suis très sérieuse, là !
Alors, peut-être que Janis, de là où elle est, connaît déjà la fin de l’histoire, peut-être qu’elle m’entends, qu’elle m’écoute et qu’elle m’attends.
July 12, 2011
One response to Le jour où je mourrai
Deux versions si différentes et puis, pas si différentes que ça…